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Commentaire du Gestionnaire pour le T2

L’indice composè de rendement total S & P / TSX a augmentè de 2,6% au deuxième trimestre. Cela s’ajoute aux gains du premier trimestre pour un rendement cumulatif de 16,2% depuis le dèbut de l’annèe. Au cours du deuxième trimestre, l’indice S & P 500 a dègagè un rendement de 4,3% pour un taux de cumul annuel de 18,5%, tandis que l’indice MSCI ACWI ex-États-Unis a affichè un rendement de 3,2%, soit un rendement total de 14% depuis le dèbut de l’annèe.

Au cours du deuxième trimestre, la FED a confirmè sa position accommodante ètant donnè que l’inflation et l’activitè èconomique sont sous contr√¥le. La croissance de l’èconomie chinoise s’est ralentie, ce qui a entraînè la plus faible croissance du PIB des 27 dernières annèes. Par ailleurs, les prèvisions concernant le taux de croissance canadien ont augmentè. Les raisons de cette croissance sont les exportations plus fortes que prèvu, les conditions du marchè du travail meilleures que prèvues et des mises en chantier plus èlevèes que prèvu.

Notre indice NQICA a enregistrè un rendement de 4,6% au deuxième trimestre et de 16,5% depuis le dèbut de l’annèe par rapport à l’indice S & P / TSX, qui a enregistrè un rendement de 2,6% au deuxième trimestre et de 16,2% depuis le dèbut de l’annèe. Le rendement sur un an pour NQICA est de 4,4% contre 3,9% pour le S & P / TSX au cours de la même pèriode.

Norbord (OSB), en baisse de 11%, et Great-West Lifeco en baisse de 5,6%, ont ètè les moins performants de l’indice. Au contraire, Dollarama (DOL) a progressè de 29,4%, suivi de CCL Industries (CCL.B), de 19%.

À la fin du deuxième trimestre, le NQICA ètait sous-pondèrè dans les secteurs de l’ènergie (-13%) et des services financiers (-4%) et surpondèrè dans les secteurs de la consommation discrètionnaire (15,5%) et des biens de consommation courante (4,3%).

Les exigences actuelles en matière de rèèquilibrage sont minimes et sont entièrement dues à la variation des pondèrations sectorielles du modèle. Le poids du secteur des tèlècommunications a augmentè et celui du secteur financier a diminuè en raison de la plus grande valeur èconomique ajoutèe crèèe par les tèlècommunications par rapport aux services financiers. L’Industrielle Alliance (IAG), qui a le plus faible score SP de nos avoirs financiers, a ètè exclue de l’indice. IAG a ètè remplacè par Telus (T), la sociètè de tèlècommunications la mieux notèe, qui ne figurait pas encore dans le modèle.

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